mardi 28 juin 2011

Radio Bourgogne Libre - REPORTEE

ADDENDUM

Coup de tonnerre ! Contrairement à ce qui a été écrit ci-dessous, l'émission de radio ne sera finalement pas diffusée ce 5 juillet mais reportée à la fin du mois de septembre.
La déception est grande pour tous les amateurs d'ondes électromagnétiques, mais il faudra faire preuve de patience....






Ici Dijon.
Les Bourguignons parlent aux Bourguignons.

Après la presse internationale c'est au tour de la radio de s'intéresser au Mouvement de Libération de la Bourgogne !
N'oublions pas que c'est grâce à la radio que les Français libres ont contribué à libérer leur pays. Pourquoi n'en irait-il pas de même pour la Bourgogne ?
Hélas nous ne disposons pas encore de notre propre chaine de radio. L'entretien sera donc diffusé le 5 juillet sur radio campus aux alentours de midi. L'horaire précis sera communiqué prochainement.
Il devrait être diffusé sur internet, mais si quelqu'un d'assez doué en informatique pouvait me l'envoyer en mp3 pour que je l'enregistre sur le site, je lui en serai reconnaissant.

Merci à radio campus et vive la Bourgogne Libre !

mercredi 8 juin 2011

Le M.L.B. dans la presse internationale

Après la presse bourguignonne, c'est à présent au tour de la presse internationale de s'intéresser à l'ascension irrésistible du Mouvement de Libération de la Bourgogne.
La jeune et talentueuse Elvire Camus, qui travaille au magazine Vice a en effet soumis son fondateur (c'est-à-dire moi-même) à une série de questions retorses auxquelles il a vaillamment répondu. Tous ces propos, les plus pertinents comme les plus alcoolisés ont été fidélement retranscrits dans cet article :










Très prochainement cet article sera disponible dans sa traduction anglaise.

Autant dire que le M.L.B. devrait faire jaser ces messieurs de New York et de Miami.

God bless the Free Burgundy !


ADDENDUM


Et à présent ce sont les lecteurs de Rue89 qui débattent de la libération de la Bourgogne, non sans quelque enthousiasme !


samedi 21 mai 2011

Le beau mois de Mai

J'ai résisté à beaucoup de choses dans la vie : j'ai résisté à la France, j'ai résisté à la sobriété et j'ai même résisté à la chasteté, mais s'il y a une chose à laquelle il m'est rigoureusement impossible de résister, c'est au plaisir de vous faire partager cette chanson de Guillaume Dufay, probablement l'une des musiques les plus joyeuses qui aient jamais été composées :




Et puisque nous sommes dans le registre de la joie, impossible de ne pas saluer la victoire de la vaillante équipe du Dijon Footbal Cote d'Or (DFCO) qui s'est (presque) qualifiée pour la ligue 1. Les Dijonnais étaient animés d'une joie de vivre tout à fait réjouissante, entrainés dans une liesse comme nous aimerions en connaître plus souvent (et comme nous espérons en connaître encore une vendredi prochain).



Bravo donc au DFCO, et à leurs supporters.... Les Téméraires !

Ce mois de mai est magnifique !

mardi 3 mai 2011

Saint Kir

On a beaucoup parlé ces derniers jours de la béatification de Jean-Paul 2, toutefois il serait bon que ces messieurs du Vatican se penchent sur un autre cas de béatification non moins urgent à célébrer : celle du chanoine Kir !
Notre bon chanoine accomplit en effet au cours de sa sybaritique existence un certain nombre de miracles qu'on aurait tort de dédaigner.
Consacrons-nous à son hagiographie.

Le chanoine Kir : un sacré boute en train au visage toujours allègre !

Le chanoine Kir vit le jour à Alise-Sainte-Renne le 22 janvier 1876 et reçut pour son baptême l'aimable prénom, très judicieusement choisi, de Félix, qu'il porta mieux encore qu'un célèbre félidé yankee de couleur bistre. Son enfance s'écoula aussi vite qu'une lampée de kir dans un gosier de Bourguignon, puis à l'âge de 25 ans il fut ordonné prêtre. Il prêcha ça et là, et notamment à Bèze, ville fameuse où plus d'un pêché de luxure se commet à chaque instant (Bèze se trouve en Bourgogne et ne saurait sans absurdité se trouver en quelqu'autre endroit de ce globe).
Partout où il officia, à Auxonne, Drée ou Nolay, il laissa le souvenir d'un curé jovial, assez porté sur la bouteille et dont la descente était pour ainsi dire christique. Presque toujours ivre du matin jusqu'au soir, puis du soir jusqu'au petit matin, Félix Kir était un curé proche de ses oilles et pas fier pour deux sous.
La proéminence de son appendice nasal témoigne assez de son heureuse façon de vivre.
Felix Felicitae est.


Le reste de sa vie terrestre est trop célèbre pour que je m'y attarde : pendant la Seconde Guerre Mondiale il parvint à faire s'évader plusieurs milliers de prisonniers de guerre français, il se fit capturer, puis il prit le maquis. Il survécu miraculeusement à plusieurs bastos que quelques allemands facétieux crurent malin de lui introduire dans le buffet (on n'a pas idée de la dangerosité d'une mitraillette tant qu'on n'a pas gouté quelques pruneaux, mais le chanoine Kir pourrait vous l'assurer : ces petites machines là peuvent faire bigrement mal !). Puis, fort de son aura de résistant il se fit triomphalement élire à la mairie de Dijon, puis à la députation, et construisit l'étendue aqueuse et éminemment liquide qui porte toujours son nom (je veux bien sûr parler du lac Kir).


Un petit documentaire sur Félix Kir, qui met l'accent sur sa religiosité et où il nous est donné d'entendre quelques beaux roulements de R.

Tout cela est fort connu de tous les Dijonnais et des services de la police allemande.
Ce qui l'est moins en revanche, c'est la partie mystique de l'existence du chanoine Kir. Car, quoique les sens jouèrent un rôle non négligeable dans son orgiaque séjour terrestre, le chanoine Kir n'en n'entretint pas moins un dialogue fort rapproché (une aimable causerie en somme) avec les forces célestes.


D'abord, et c'est un apport considérable à la pensée chrétienne, le chanoine Kir fût l'inventeur de la théologie anale.
Cette discipline, éminemment passionnante, quoiqu'encore injustement négligée, consiste à démontrer l'existence de Dieu à l'aide de son sphincter (en partant vraisemblablement du postulat mystique selon lequel les voies les plus triviales sont celles qui communiquent le plus étroitement avec le Ciel).
La théologie anale fût inventée à l'Assemblée Nationale un jour qu'un député matérialiste asséna au chanoine :
"_ Dieu ! Peuh ! Ca n'est rien que de la foutaise cette histoire là puisqu'on ne l'a jamais vu".
Alors, dans une illumination mystique et rectale, Kir énonça cette brillante vérité, qui posa les fondements de la théologie anale :
_ Et mon cul ? L'avez-vous vu mon cul ? Mirâtes-vous jamais mon postérieur ? Contemplâtes-vous ne serait-ce qu'une seconde le fond de mon rectum ? Non ? Et pourtant Il existe !".
Cette immortelle assertion suffirait je pense à élever le chanoine Kir au rang de Docteur de l'Église, mais celui-ci n'en resta pas là, il accomplit d'authentiques miracles.

Pour savoir ce qu'est un miracle authentique, souvenons nous d'un célèbre banquet qui se déroula du côté de Cana, dans les années 20. Un jeune Galiléen alors célébrait ses noces. Hélas celui-ci était un grand admirateur de la Gaule, et, de retour d'un voyage qu'il fit à Lutèce, il en avait rapporté des jarres entières d'eau minérale. Autant dire que l'ambiance était assez morose. Or parmi les convives se trouvait un jeune ivrogne, prénommé Jésus et qui s'ennuyait ferme. Il jugea que son père, qui avait créé l'univers, aurait pu le rendre bigrement plus divertissant en faisant un moindre effort, aussi il accomplit ce miracle inoubliable (qui mériterait d'être renouvelé à notre époque ô combien cananéenne) : il changea l'eau en vin (et probablement en vin de Bourgogne, même si les Evangiles n'ont pas pris la peine de le préciser tant la chose paraît évidente).
Voilà ce qui s'appelle un authentique miracle, tel que l'Église le reconnaît !

Tournée générale, c'est moi qui régale !

Deux millénaires plus tard, le chanoine Kir se trouva lui aussi à un banquet, non pas à Cana (et qu'eût-il été ficher à Cana ?) mais en Bourgogne, aussi était-il plus autrement plus joyeux que le précédent et l'on y buvait du vin blanc en abondance. Mais aussi joyeux fût-il, il ne l'était pas suffisamment pour notre bon chanoine pour qui la joie ne saurait connaître nulle forme de modération. Aussi, alors que le Christ avait changé l'eau en vin, Kir accomplit un exploit non moins miraculeux : il métamorphosa le vin blanc aligoté en kir !
Certes ce miracle était moins difficile à accomplir que celui du Christ, puisque Jésus a opéré une transmutation à partir d'un breuvage autrement moins alcoolisé, il partait donc avec un plus grand handicap, mais le résultat du miracle de Kir est autrement plus savoureux et pour vous en convaincre je vous invite à comparer le goût du kir à celui du vin blanc aligoté sec.
Pour cela seul il mériterait amplement la béatification, mais il n'en resta pas là.

Quelques années plus tard, en 1960, le dirigeant de l'URSS, Nikita Khrouchtchev, vint visiter la ville de Dijon. A l'époque, Khrouchtchev proposait ni plus ni moins que d'anéantir l'occident capitaliste sous le feu de ses ogives nucléaires Mais baste, une petite guerre thermo-atomique n'allait certes pas empêcher Kir d'aller boire un petit coup, aussi invita-t-il Nikita à boire un petit verre à la mairie de Dijon. Khrouchtchev, grand buveur, avait amené sa propre bouteille de vodka en s'imaginant qu'il aurait tôt fait d'envoyer Kir faire quelques pirouettes sous la table. C'était sans compter l'intervention divine. Kir s'empara de la bouteille de vodka et, sous le regard ébahi de l'ancien paysan de Koursk, métamorphosa son contenu en un savoureux double k : mélange de cassis et de vodka. Quelques verres plus tard, soufflé par le génie divin du chanoine, le dirigeant de l'URSS déposait au pied de la tour Philippe le Bon une colossale peau de renard avant de s'enfoncer dans un profond sommeil éthylisé.
Ainsi le maire de Dijon ne s'était pas contente de changer le vin en kir, il changea aussi la vodak en double k.
On dit qu'avant sa mort, Khrouchtchev, bien que farouchement matérialiste, murmura en râlant le nom de Kir, comme s'il avait été touché par ce souffle divin à l'haleine un peu chargé.




Avouez que l'Eglise catholique se montrerait bien scrupuleuse si elle ne reconnaissait pas là de véritables miracles !

Mais pour que la sainteté d'un homme soit reconnue par l'Eglise catholique, il est nécessaire que celui-ci réalise des miracles de manière post mortem.
Aussi chers lecteurs, la prochaine fois que vous souffrirez de la gueule de bois : invoquez le chanoine Kir et brûlez un cierge en invoquant son nom. Si par miracle votre migraine venait à s'évanouir, si la xylocéphalie disparaissait, c'est qu'alors saint Kir, le saint patron des lendemains de cuites, vous aura exaucé, et alors enfin, plus rien ne viendra s'opposer à sa béatification par la Sainte Eglise Catholique.
Saint Kir priez pour nous !
Et attendant sa canonisation, buvons des canons !

mercredi 27 avril 2011

Comment la France bafoue le kir

Je me trouvai pas plus tard qu'avant hier en territoire ennemi, c'est-à-dire en France, lorsque, abattu par la chaleur du soleil printanier, je m'assis à la terrasse d'un bistrot, bien décidé à me rafraichir le gosier.
Une serveuse, pâle, rachitique, désespérement sobre, vint s'enquérir avec mollesse du breuvage ce que je désirais ingurgiter. Je lui répondis avec fermeté (comme pour lui signifier le mépris en lequel je tenais son triste peuple) : "servez-moi un Kir !".
Alors qu'après avoir formulé cette réponse limpide je m'attendais à voir la serveuse se diriger avec diligence dans son café pour m'apporter le délectable breuvage dont j'avais fait la commande, la nigaude crut bon de palabrer de plus belle en me posant une question tout à fait saugrenue : "Kir fraise ou Kir framboise ?". Cette fois je n'y tins plus et je ne me contentis pas de sortir de mes gonds, j'en jaillis avec fureur :
"_ Cessez de m'importuner avec vos problèmes de jardinage ! Je n'ai que faire de vos fruits exécrablement rougeâtres ! J'ai commandé un kir et j'entends bien en boire ! Sachez que je ne quitterai votre établissement qu'en titubant !".
La serveuse repartit vers son comptoir en courant, tandis qu'un flot de larmes venait inonder ses yeux inexpressifs. Elle revint en direction de ma table, tremblante de frayeur, et déposa devant moi un verre. Je portai alors le récipient à mes lèvres et au lieu de sentir le goût tant espéré de la liqueur de cassis ma langue se plongea dans un verre de vin blanc contaminé par un écoeurant sirop de fraise archi-sucré. Je me levai alors de ma chaise et projetai l'éxécrable liquide à la face de la serveuse anéantie en lui assénant : "Avec les compliments du chanoine Kir !".
Je partis aussitôt sans même régler ma note, laissant derrière moi les cris de la serveuse désespérée. Je crus inutile de me retourner, ce en quoi je fis bien car les insultes des autres clients commençaient à fuser en ma direction.
Ainsi donc, en plein XXI° siècle, tandis qu'on ne cesse de nous parler des progrès de l'éducation dans le monde, il existait encore des personnes assez sottes pour ignorer que le Kir se prépare avec du cassis et non avec je ne sais quel sirop de glucose. Quelle misère !
Pour y remédier je décidai aussitôt de consacrer un article de ce site au chanoine Kir, que vous pourrez lire dès que je l'aurais écrit (c'est-à-dire la semaine prochaine).
En attendant, chers amis Bourguignons, restez vigilants, et refusez catégoriquement d'ingurgiter ces décoctions sournoises qui usurpent le beau nom de Kir.

Le seul kir véritable, tel que l'univers entier nous l'envie

Et pour rendre mon article plus pédagogique encore je crois utile de rappeler quelques équations éthyliques que tous les experts ès-soulographie se doivent de connaitre par cœur, ou plutôt par foie :

Bourgogne aligoté + crème de cassis = kir
Crémant de Bourgogne + crème de cassis = kir royal
Bourgogne rouge + crème de cassis = cardinal (si vous êtes religieux) ou communard (si vous êtes révolutionnaire)
Vodka + crème de cassis = double K
Whiskey + crème de cassis = Whyskas
Blanc aligoté + sirop Tesseire = pipi de chat
Eau minérale + sirop de menthe = franchouillard (le franchouillard se boit essentiellement en région parisienne).

vendredi 15 avril 2011

Français, encore un effort !

La France est un pays de flasques ronfleurs et de pâles pisse-froids létargiques !
Non ce n'est pas le MLB qui l'affirme, mais un rapport de l'OCDE qui vient d'être publié et qui établit que les Français dorment en moyenne beaucoup plus longtemps que les autres habitants de cette planète.
Voilà qui ne surprendra personne, et surtout pas les bourguignons qui subissent le joug de l'oreiller depuis déjà plus de 4 siècles.
Certes les Français peuvent dormir paisiblement en France, et ce ne sont pas le bruit des bouteilles que l'on débouche qui les empêcheront de dormir.
Il suffit de se promener nocturnement dans n'importe quelle ville de France pour voir à quel point le sommeil y est respecté : pas un bistrot ouvert trop tardivement, pas la moindre bacchanale, fut-elle chétive, ne vient perturber le sommeil sacré des fanatiques du ronflement.
Partout les dormeurs règnent en maitre, et si un groupe de joyeux buveurs a l'outrecuidance de rire un peu trop fort, de s'amuser de manière un peu excessive ou même d'oser parler à voix haute, plutôt que de murmurer, une simple plainte suffira à les envoyer au commissariat ou à faire ferme un bistrot où l'on aurait l'audace de faire quelque bruit après 22 heures.
Le maire de Dijon lui-même a, de ce point de vue, beaucoup contribué à la francisation de la Bourgogne en prohibant la vente d'alcool en épicerie après minuit (ô ville festive !). Quant à la France, elle peut compter sur son ministre de la vertu et de la sobriété, Roselyne Bachelot, pour qu'aucune sorte de festivité ne gêne la somnolence des moutons.

"Il est 22h05 et j'ai entendu deux jeunes gens boire un verre de vin rouge dans la rue en riant. Je suis une bonne citoyenne française et je suis dans mon droit : j'appelle les flics !"

Pour la plupart des gens le sommeil n'est qu'un besoin, parfois un plaisir, mais pour le Français c'est la principale des activités, la plus sacrée de toute.
Oui, pour le Français, rien n'est meilleur que de s'allonger sur une surface mollasse et d'y demeurer immobile, les yeux clos. Voilà ce à quoi il aspire par dessus tout : à rester inerte et silencieux.
"Fichez le camp de la France avec votre alcool, vos rires et votre musique : ici on veut dormir tranquillement ! Soyez raisonnables : allez vous coucher mon vieux ! Et buvez un verre d'eau plate, ça vous aidera à mieux dormir !"
Ce rapport de l'OCDE nous apprend que les Français dorment en moyenne 8h50 par jour. C'est beaucoup, mais encore très insuffisant. Pour que la France accomplisse son destin en tant que nation, et pour que les Français deviennent intégralement français, il faudrait que ce chiffre soit beaucoup plus élevé. Oui, Français, encore un effort. Bientôt si cette tendance se poursuit, et si nos gouvernants poursuivent leur travail, d'ici une cinquantaine d'années tous les Français pourront dormir 24 heures par jour en France, dans de confortables lits de sapin, logés dans de silencieux dortoirs situés 6 pieds sous terre.
Alors, plus personne ne viendra déranger le sommeil des Français et la France sera vraiment la France !

"Silence ! Vous êtes en France !"

jeudi 31 mars 2011

Exposition virtuelle d'art bourguignon

Le MLB est bien plus qu'un parti politique, c'est un mouvement, et en tant que tel il tend à entrainer dans son sillage toutes les forces vives de la Bourgogne, et notamment ses artistes. Toujours à la pointe de la modernité, le MLB est fier de pouvoir compter sur le soutien d'artistes contemporains qui forment l'avant garde de l'art bourguignon, et non moins fier de vous présenter quelques oeuvres de l'un des plus talentueux d'entre eux : Sergeï Kastelovitch !
On notera dans son art l'utilisation des technologies les plus modernes, notamment l'ordinateur, qui témoigne de la vitalité de la culture bourguignonne à travers les siècles.
L'artiste, ici, a puisé son inspiration dans les idées du MLB, c'est-à-dire dans les valeurs traditionnelles de la Bourgogne, qu'il a su retranscrire avec élégance dans de savants assemblages d'images glanées ici et là sur google.
Certes ce jeune artiste ne jouit pas encore d'une notoriété considérable mais son talent est déjà très largement reconnu à Grésigny sainte Renne, dans le canton de Venarey les Laumes.
Certains critiques avertis n'hésitent pas à voir en lui le Claus Sluter du photoshop, tant son mouvement de souris est précis et le coucher de son clavier, délicat. Peu d'artistes peuvent se vanter de savoir cliquer avec autant d'habileté que lui !
Gageons que le bourguignonisme sera le grand courant artistique du XXI° siècle, comme ces quelques oeuvres semblent le prophétiser.
Mais place aux oeuvres :