Quoi ?
Le président des forces d'occupation décoré de l'ordre où siègèrent Philippe le Bon et Charles le Téméraire !
Avouez qu'il y avait là de quoi suffoquer.
Bien sûr, il ne s'agissait que de l'ordre espagnol de la Toison d'Or, le seul qui soit reconnu par la France et par conséquent le moins légitime, mais c'était néanmoins fort de café !
Quelques jours plus tard, j'appris que le président Nicolas Sarkozy se rendait à Dijon....
Cette fois je compris qu'il y avait là bien plus qu'une coïncidence, mais bel et bien un signe du destin que je m'empressai de saisir au vol.
Peut-être était-ce l'occasion tant espérée d'obtenir l'indépendance qui se présentait sous nos yeux ?
3 commentaires:
C'est malpoli de ne pas répondre à une lettre.
Il choisit le décollement.
J'ai adoré cette lettre.
Félicitations Germain
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