lundi 22 septembre 2008

Article dans le Bien Public

Enfin, et pour la première fois depuis sa création, notre mouvement obtient une reconnaissance médiatique, certes limitée, mais qui devrait faire connaitre notre mouvement à tous les Bourguignons qui vivent dans l'espoir de leur libération.
Ce n'est pas moins que le Bien Public, premier journal de notre région, qui a couvert l'évènement, mais jugez plutôt :

http://www.bienpublic.com/actu/cotedor/20080922.BPA3707.html

Certes le journaliste ne semble guère partager nos idées, certes il s'est cru obligé de remettre en cause le sérieux de notre cause (peut-être y a-t-il été obligé par une rédaction vendue aux intérêts de la France après tout) mais saluons au moins son travail d'investigation qui l'a conduit jusqu'à notre site et son professionalisme pour avoir traité ce qui sera peut-être considéré dans quelques années comme l'un des plus grands évènements de l'Histoire de la Bourgogne !

jeudi 18 septembre 2008

le G.A.L.B. frappe un grand coup !

Je sais que ce site n'a pas été des plus actifs ces derniers temps, même si, malgré le travail harassant que je dois abattre chaque jour pour nourrir mon humble famille (mais le travail ne rend-il pas libre ?) je m'efforce de mettre au moins un message par mois. Toutefois celà ne signifie en rien que l'activisme pour la libération de la Bourgogne se soit tempéré et le Groupe Armé de Libération de la Bourgogne vient de le prouver avec éclat en accomplissant une action spectaculaire qui ne manquera pas de frapper de plein fouet les autorités françaises.

Voici le récit photographique de leur époustouflant coup de maitre.


Après avoir acheté, bien des mois auparavant pour ne pas éveiller les curiosités, une longue banderole blanche dans un magasin suédois, nos frères d'armes se sont rendus dans une clairière relativement éloignée de la ville afin d'opérer dans la plus parfaite discrétion (car hélas sous la coupe de ce pays nous sommes malheureusement contraints d'agir dans la clandestinité).

La banderole encore si vierge qu'elle pourrait trôner à côté du chancelier Rollin.



Les Bourguignons Libres du G.A.L.B. se mettent à l'oeuvre, avec fermeté et bonne humeur.


Une fois la banderole réalisée ces fiers guerriers exultent devant leur création, dans une folichonnerie toute bourguignonne et arbore la croix de Saint-André pour bien marquer leur hostilité à la France.
Tremble Marianne, gueuse ignoble, tes jours en Bourgogne sont comptés !




On voit ici deux membres du G.A.L.B. se donner des marques d'une virile amitié comme seule une vie aventureuse peut en souder !

Puis une fois leur bannière réalisée, nos héroïques résistants se sont rendus au viaduc de Semur, lieu le plus exposé aux regards de la ville en raison de sa hauteur, et ce (comble de l'audace) : en plein jour ! Au nez et à la barbe des autorités françaises, et sous les vivats des quelques Bourguignons qui assistaient à la scène. Quel camouflet plus cinglant peut-on infliger à la France que de bafouer ses lois avec l'assurance et l'impunité des hommes sûrs de leur bon droit !
Quand la justice accompagne un combat , il est pénétré de toutes les hardiesses et rien ne saurait freiner sa marche vers la victoire !







A présent flotte au dessus de la ville de Semur-en-Auxois l'étendart de la liberté. Cette ville est la première de l'histoire de la Bourgogne, depuis 1477, à exprimer sa volonté d'indépendance à la face du monde !
Elle affirme haut et fort que la France n'a plus sa place en Bourgogne et qu'il est grand temps de mettre un terme à plus de 5 siècles d'oppression !
Que cet acte de bravoure résonne dans toute la Bourgogne, oui, j'invite tous les Bourguignons Libres où qu'ils se trouvent à imiter l'exemple de la ville de Semur et à orner toutes les villes de notre pays de bannières, de drapeaux, de pancartes ou mêmes d'inscriptions exprimant leur rejet de la France et la volonté de libération de la Bourgogne, ils trouveront sur ce site une tribune pour tous leurs hauts faits !
Aux actes compagnons !
Que la France succomble sous la nuée de nos coups d'éclat et que triomphe enfin la liberté de la Bourgogne !



P.S. : Ce message est déjà le cinquantième et marque en outre l'anniversaire de ce site qui a déjà un an ! Comme on le voit en un an la lutte est loin de s'être essouflée.
Et ça ne fait que commencer, que la France se le tienne pour dit.

jeudi 11 septembre 2008

Mon patriote de fils !

Bonjour à tous !
C'est déjà la rentrée, triste moment où il nous faut retourner au travail afin d'offrir la sueur de nos fronts à un pays qui nous écoeure. Mais c'est aussi l'époque où nous voyons nos chères petites têtes blondes quitter le foyer familial pour s'en aller juvénilement à l'école où la maîtresse leur enseignera d'innonmbrables mensonges.
Vous connaissez ma légendaire modestie et la discrétion à laquelle mes prises de position radicale m'astreignent, néanmoins je ne résiste pas à l'orgueil de vous montrer une petite vidéo de mon fils, prénommé Jean-Charles-Philippe (je n'ai pas osé faire de préférence entre les ducs de Bourgogne au moment de le baptiser).
Comme vous vous en doutez je l'ai nourri dès son plus jeune âge d'un amour immodéré pour sa terre natale, son histoire et ses vignobles (je lui fait boire un verre de vin chaque jour depuis qu'il a 4 ans, il n'y a pas de meilleures façons de fortifier le caractère d'un enfant, croyez en ma propre expérience). Naturellement il a été élevé dans le plus grand mépris des valeurs républicaines, ce qui a déjà provoqué quelques altercations avec son institutrice, mais je prends bien soin de ne pas laisser cette imbécile (née en Touraine) laver la cervelle de mon enfant avec sa propagande grossière en essayant de lui faire croire qu'il est français, je lui rappelle chaque jour ce qu'est véritablement la Bourgogne et lui apprend à saluer le drapeau bourguignon et à entonner des chants patriotiques (je pense qu'il est important d'inculquer un esprit critique à ses enfants, vous ne trouvez pas ?).
Voici donc mon cher fils qui va chanter pour vous un chant bourguignon, n'hésitez pas à laisser des commentaires pour l'encourager (je sais que sa voix laisse sérieusement à désirer, sa mère et moi en souffrons bien assez pour que vous preniez la peine de me le rappeler, aussi je prierai les corbeaux railleux d'aller croasser sous d'autres cieux virtuels).